LÉGISLATION
Les répliques d'armes à feu utilisées par les joueurs d'airsoft ne sont pas considérées comme des armes aux fins de la loi de 1995. Les répliques d'armes à feu qui produisent plus de 0,08 joules et moins de 2 joules d'énergie par la bouche Réglementer la distribution aux professionnels et interdire la possession et l'utilisation dans tout façon : prêter, donner, louer, vendre ou donner gratuitement des répliques de plus de 0,08 joules à des mineurs. Par conséquent, le jeu d'airsoft reste une activité d'adulte. Plus précisément, l'utilisation de répliques d'une puissance supérieure à 0,08 joules par des mineurs est interdite, de même qu'une autorisation parentale ne peut prévaloir sur la loi.
Il est également nécessaire de refuser l'accès aux terrains de jeux aux mineurs, car la présence de mineurs dans des activités réglementées pourrait constituer un danger pour les joueurs adultes en cas d'accident (procédure judiciaire, assurance, etc.). En droit français, le décret 95-589 du 6 mai 1995 classe les lanceurs de projectiles dont l'énergie en sortie de canon est de 2 Joules ou plus dans la 7ème catégorie d'armes. Les mesures de performance sont généralement effectuées par rapport à la vitesse de sortie (FPS ou pieds par seconde) et au poids du projectile (une balle de 0,20 gramme couramment utilisée comme référence).
C'est en fait de l'énergie cinétique. En termes d'équipement restant, l'utilisation d'uniformes de toutes origines et d'effets militaires est très répandue chez les joueurs, et une touche de jeu de rôle fait souvent partie des jeux d'airsoft.Le port d'uniformes d'agence, ne serait-ce que pour les jeux d'airsoft, est interdit. sauf réglementation stricte (port illégal de l'uniforme, présomption de qualité, présomption de puissance), elle doit donc être interdite. pratiqué dans le domaine privé.
[Source : Légifrance.gouv.fr]